Étrangement, suite à une greffe cardiaque, les médecins ont remarqué qu’il pouvait y avoir de profonds changements dans le comportement de leurs malades.
Leur nature psychique, leurs désirs, ce qu’ils aiment, ce qu’ils détestent et même leurs croyances religieuses peuvent être complètement bouleversés.
Les chirurgiens ont remarqué que le cœur implanté commence immédiatement à battre sans attendre les ordres du cerveau anesthésié.
Sachez aussi que le cœur se forme dans le fœtus avant le cerveau et commence à battre dès le 21ème jour de la grossesse.
Ceci suggère que le cœur opère indépendamment du cerveau.
Je voulais m’étendre un peu plus sur ce magnifique cœur que nous possédons tous et que la science met de plus en plus en avant …
Le coeur n’est pas qu’une pompe sans âme et sans émotion…
Le coeur possède un véritable cerveau avec des neurones, une sécrétion de neuro-transmetteurs, bref, le coeur a été mis au centre du système nerveux autonome.
C’est un centre émotionnel.
Des recherches provenant de la faculté de médecine de Harvard disent que des «conversations » chimiques s’effectuent entre le cœur et le cerveau .
Étrangement, suite à une greffe cardiaque, donc à une transplantation cardiaque, les médecins ont remarqué qu’il pouvait y avoir de profonds changements dans le comportement de leurs malades.
Leur nature psychique, leurs désirs, ce qu’ils aiment, ce qu’ils détestent et même leurs croyances religieuses peuvent être complètement bouleversés.
Aucune explication scientifique n’a pu être donnée à ce phénomène.
Les chirurgiens ont remarqué que le cœur implanté commence immédiatement à battre sans attendre les ordres du cerveau anesthésié.
Sachez aussi que le cœur se forme dans le fœtus avant le cerveau et commence à battre dès le 21ème jour de la grossesse.
Ceci suggère que le cœur opère indépendamment du cerveau.
Et si 60 ans était le plus bel âge? Nous sommes les « jeuniors » d’aujourd’hui. Ces « Jeuniors j’adore… »
Ces nouveaux « seniors tendances » révolutionnent les codes de la vieillesse. Ils se soucient de leur santé physique et surtout mentale, ils ne consomment pas à l’aveugle, savent ce qu’ils veulent. Ils consomment plus responsable, bien décidés à vieillir heureux, sans déni de la réalité. Vive la « JEUNIOR POWER »
Certains spécialistes tels que le Dr Schwartz pensent même que c’est le cœur qui dirige le cerveau et que dans chacune de ses cellules, un historique de notre vie est enregistré!
Les cellules du cœur seraient donc dotées d’une mémoire !
Le Dr Schwartz a participé à l’implantation d’un cœur appartenant à un enfant décédé, dans la poitrine d’un autre enfant. Lorsque l’enfant opéré s’est réveillé, la maman du défunt l’a pris dans ses bras. Elle dit qu’elle sentait le souffle et les battements du cœur de son fils.
Mieux encore, l’enfant greffé a commencé à présenter des troubles du cerveau gauche, la maman du défunt a informé les médecins que son enfant avait commencé à présenter les mêmes troubles avant sa mort.
Ceci prouve que le désordre du cerveau de l’enfant décédé a été transporté par le cœur greffé sur le cerveau auparavant sain, du malade soigné !
Une autre histoire aussi… celui d’une jeune fille
Au lendemain de son l’opération cardiaque, la malade greffée commença à se plaindre de chocs au niveau de la poitrine.
Il s’est avéré que la défunte était morte d’un accident de voiture. Les derniers mots qu’elle a prononcés furent : “J’ai mal à la poitrine”!
Un cas similaire s’est produit avec un garçon qui a reçu le cœur d’une fille morte noyée dans une piscine.
Le garçon est devenu un effrayé de l’eau et disait souvent à ses parents: “Ne me jetez pas dans l’eau”, même lorsqu’il était à la maison !
Le cas aussi d’une jeune femme ayant subi une transplantation cœur-poumon .
Elle déclara avoir remarqué des changements dans ses attitudes, ses habitudes et même ses préférences après son opération.
Elle avait des envies inexplicables d’aliments qu’elle n’appréciait pas auparavant.
Elle, qui était une danseuse très attentive à sa santé, elle n’avait pu résister, en quittant l’hôpital, à l’envie d’aller dans un fast-food et de commander des nuggets de poulet, aliment qu’elle ne consommait jamais.
Elle commença à se comporter de manière agressive et impétueuse, ce qui ne lui ressemblait pas, mais s’avéra typique de la personnalité de son donneur
quelques autres cas :
Cas n° 1 :
Le donneur était un jeune homme de 18 ans, tué dans un accident de voiture. Le receveur était une jeune fille de 18 ans .
Le père du donneur, psychiatre :
“Mon fils passait son temps à écrire de la poésie
. Nous avons découvert un livre de poèmes qu’il ne nous avait jamais montré.
Mon fils était aussi musicien et nous avons retrouvé une chanson qu’il avait intitulée ‘Danny, mon cœur est à toi’ (les paroles montraient que mon fils sentait qu’il allait mourir et donner son cœur à quelqu’un).
Il avait décidé de faire don de ses organes quand il avait 12 ans.
Nous trouvions cela très courageux, mais nous pensions que c’était parce qu’ils en parlaient à l’école.
Lorsque nous avons rencontré le receveur, nous avons été si troublés…
Le receveur , la jeune fille…
“Quand ils m’ont montré des photos de leur fils, je l’ai immédiatement reconnu.
Je l’aurais reconnu n’importe où.
Il est en moi. Je sais qu’il est en moi et qu’il est amoureux de moi.
Il a toujours été amoureux de moi, peut-être à une autre époque, quelque part. Comment pouvait-il savoir, des années avant sa mort, qu’il allait mourir et me donner son cœur ?
Comment pouvait-il savoir que je m’appelais Danny ?
Ensuite, quand ils m’ont fait écouter certaines de ses chansons, je pouvais finir les phrases toute seule.
Je ne jouais d’aucun instrument avant, mais après ma transplantation, je me suis mise à adorer la musique.
Cela venait du cœur.
Mon cœur avait besoin de jouer de la musique.
J’ai dit à ma mère que je voulais prendre des cours de guitare, l’instrument dont jouait Paul [Ndlr :le donneur]. Sa chanson est en moi. Je le ressens très fortement le soir, c’est comme si Paul me chantait une sérénade.”
Cas n° 2 :
Le donneur était un petit garçon de 16 mois qui s’était noyé dans sa baignoire. Le receveur était un petit garçon de sept mois
La mère du donneur, médecin :
Lorsque Carter [Ndlr :le receveur] m’a vue pour la première fois, il a couru vers moi et n’a pas arrêté de se frotter le nez contre moi. C’est exactement ce que nous faisions, Jerry et moi.
Quand il me faisait des câlins, j’avais l’impression de tenir mon fils. Je pouvais le sentir, pas simplement de façon symbolique. Il était là. Je sentais son énergie.
Je suis médecin. J’ai appris à observer finement et j’ai toujours été d’un naturel sceptique.
Mais c’était bien réel. Je sais que certaines personnes diront que j’ai besoin de croire que l’esprit de mon fils est vivant, et peut-être est-ce le cas. Mais je l’ai vraiment senti.
Mon mari et mon père ont eu la même impression. Et je vous jure (vous pouvez le demander à ma mère), Carter avait le même langage enfantin que Jerry.
Carter a maintenant six ans, mais au même âge, il parlait comme Jerry et jouait avec mon nez exactement comme le faisait Jerry.
Ils ont passé une nuit dans la famille du petit garçon qui avait reçu le cœur..
Au milieu de la nuit, Carter est venu nous demander s’il pouvait dormir avec nous. Il s’est pelotonné entre mon mari et moi tout comme le faisait Jerry, et nous nous sommes mis à pleurer.
Carter nous a dit de ne pas pleurer car Jerry (le petit garçon décédé) avait dit que tout allait bien.
Étrange !
La mère du receveur :
“J’ai vu Carter aller vers elle [Ndlr :la mère du donneur]. Cela ne lui ressemble pas. Il est très, très timide, mais il est allé vers elle comme il courait vers moi quand il était bébé.
Quand il a murmuré ‘Tout va bien, Maman’, j’ai craqué.
Il l’a appelée ‘Maman’, ou peut-être était-ce le cœur de Jerry qui parlait. Il y a autre chose.
Quand nous sommes allées à l’église ensemble, Carter n’avait jamais rencontré le père de Jerry. Nous sommes arrivés en retard et le père de Jerry était assis avec un groupe de gens au milieu de l’assemblée.
Carter a lâché ma main, et s’est précipité droit sur cet homme. Il a grimpé sur ses genoux, l’a serré fort et l’a appelé ‘Papa’.
Nous étions sidérés. Comment pouvait-il le reconnaître ? Pourquoi l’a-t-il appelé ‘Papa’ ? Il ne faisait jamais ce genre de choses.
Il ne me lâchait jamais la main à l’église et ne courait jamais vers des inconnus.
Beaucoup de personnes ont témoigné sur ce qu’il leur arrivait après la transplantation.
En France, la célèbre actrice Charlotte Vallandré en a longuement parlé dans un livre …
Je trouve cela tellement troublant !
Autre chose, aussi ,comme vous le savez peut-être, il n’y a pas assez de greffons humains et il existe des cœurs artificiels
Peter Houghton avait reçu un cœur artificiel.
Ce cœur consistait en une motopompe qui assurait la circulation du sang dans ses vaisseaux sanguins.
Ce malade a reconnu qu’il était devenu un être sans sentiments.
Il disait qu’il avait dans la poitrine un objet dur comme la pierre: “Je ne ressens plus aucun amour même pas pour mes petits enfants. Je ne sais plus me comporter avec eux. On dirait qu’ils ne font plus partie de moi comme auparavant”.
Cet homme n’a plus aucun penchant ni pour la vie, ni pour l’argent ni pour les autres plaisirs; il n’a plus d’espoir. Il a perdu jusqu’aux facultés de réfléchir, prévoir, comparer ou comprendre. Il songe souvent à se suicider .
Echec donc du cœur artificiel ….
Voilà mes Séniors, je trouve tout cela bien passionnant et j’avais envie de le partager!
Les organes disposeraient -ils d’une mémoire cellulaire ?
Notre histoire resterait-elle stockée dans nos tissus ?
Vastes questions qui vont faire couler beaucoup d’encre et sans doute beaucoup de désaccords…
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